
En effet, l’éducation est une manière de protéger les enfants. Que ce soit pour la transmission de connaissance, ou encore les sortir d’un contexte quotidien difficile comme pour les enfants des rues de Ségou au Mali, voire dangereux comme pour les enfants des mines de Tougouri au Burkina Faso , l’école protège et permet à chaque enfant de se crée un meilleur avenir. Avec ses projets d’éducation, la fondation contribue au développement personnel et professionnel des enfants, tout en proposant des formations dans le respect et l’inclusion des filles et des garçons.
De plus, les filières proposées sont toujours en accord avec les besoins locaux, et le développement durable. Cette durabilité s’exerce sur plusieurs niveaux. Tout d’abord avec des centres écoresponsables dès leur construction ou réhabilitation en privilégiant par exemple les circuits-courts ou encore avec l’installation systématique de panneaux photovoltaïques. Ensuite, ces prérogatives sont enseignées aux apprenants, qui sont en plus de cela, formés à des «activités génératrices de revenus» qui favoriseront ainsi le développement local, dans leur future zone d’implantation.
Enfin, pour que leur insertion professionnelle se déroule dans les meilleures conditions, les élèves en fin de parcours se voient remettre un diplôme d’État ainsi qu’un kit d’installation pour faciliter le démarrage de leur activité professionnelle.
Pour conclure, le bulletin 70 fera état des projets de la fondation, avec des témoignages de ses partenaires, de l’équipe exécutive au Luxembourg, d’enfants pris en charge dans les projets d’éducation et de protection. Avec en exclusivité une création réalisée spécialement pour ce bulletin par l’artiste peintre Gilliane Warzée. C.