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Un projet-pilote dans le plus pur esprit Fairtrade

Cactus s’associe aux producteurs de bananes pour la construction d’un centre de recyclage au Nord du Pérou

En vendant des bananes issues du commerce équitable et d’une agriculture biologique, on contribue à améliorer les conditions de vie et de travail des petits producteurs. Photo: Fairtrade

Depuis 1993, année de lancement du premier café équitable au Luxembourg, Cactus est partenaire actif de l’ONG Fairtrade Lëtzebuerg. Le slogan lancé à l’époque, «Mir si fair am Ëmgang», est toujours d’actualité. «Il nous appartient de renforcer et d’accélérer les valeurs pionnières de notre enseigne, valeurs définies en 1967 par l’entreprise familiale que nous sommes», rappelle Marc Hoffmann, directeur marketing de Cactus. Les bananes péruviennes figuraient parmi les premiers produits Fairtrade distribués par l'enseigne. Partons à leur origine et leur découverte.«Des bananes à déguster en toute bonne conscience? Pouvonsnous importer des fruits de pays lointains et parler de durabilité en se cachant derrière un label Bio ou un label Fairtrade? Quelle est l’empreinte carbone d’un des fruits les plus populaires de nous tous?» Marc Hoffmann rappelle ces questions fondamentales et recommande la lecture du livre «Wie schlimm sind Bananen? Der CO2-Abdruck von allem» de l’auteur Mike Berners-Lee, paru chez Midas. «Cet ouvrage aide dans la réflexion et nous conforte», assure Hoffmann: «Être ambassadeur de bananes bio-FFairtrade revient à un équilibre entre exigences économiques, écologiques et sociales. En vendant des bananes issues du commerce équitable et d’une agriculture biologique, on contribue à améliorer les conditions de vie et de travail des petits producteurs. Tous les critères des organismes de certification sont remplis et les exigences sociales et environnementales sont respectées», souligne-t-il.

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Le projet de recyclage cofinancé par Cactus permet de débarrasser la nature des sacs en plastique. Photos: Cactu
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Les plastiques utilisés dans les plantations sont transformés en granulés pour créer des cornières de protection.

Fairtrade et ses trois piliers du développement durable

En principe, et partout au monde, les petits producteurs Fairtrade sont rassemblés dans des coopératives qui s’appuient sur les trois piliers du développement durable, à savoir le pilier économique, le pilier social et le pilier environnemental. «À la base, les coopératives souhaitent rémunérer équitablement à un prix juste les producteurs, comme les producteurs de bananes au Pérou», explique Geneviève Krol, directrice de Fairtrade Lëtzebuerg, «leurs conditions de travail sont justes et le respect des droits humains est un pilier très important dans nos standards tout comme l’écologie. Les coopératives cherchent à produire dans le respect de l’environnement».

Un tout nouveau projet lancé au Nord du Pérou illustre parfaitement cet engagement écolo et durable de Fairtrade. La culture de la banane est un travail prenant. Les bananiers sont la proie d’insectes, d’oiseaux et autres nuisibles. Pour protéger les régimes de bananes, les producteurs doivent les emballer avec des sacs en plastique.

Cependant, ces sacs en plastique utiles à la production sont tout sauf écologiques ou durables. Pour le secteur de la banane au nord du Pérou, qui s’étend sur 8.000 hectares, quelque 25 millions de ces sacs en plastique sont utilisés par année, ce qui équivaut 500.000 kilos ! Que faire alors de cette énorme masse de matériel polluant?

Projet de recyclage pour en faire des cornières

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Pour que les cartons ne bougent pas sur les palettes et dans le conteneur, à chaque coin on met une cornière qui les fait tenir sur les palettes.

La réponse à ce challenge s’est traduite par un projet pilote, une première au Pérou: «Fairtrade, ensemble avec des partenaires, a eu l’idée de recycler ce plastique», annonce Geneviève Krol, fascinée par cette initiative menée communément par deux coopératives péruviennes Fairtrade, Appbosa et Avach, en partenariat avec l'importateur Agrofair. Le projet consiste en la construction d'un centre de recyclage qui permettra de récupérer tous ces plastiques utilisés et d'en faire des granulés pour créer des cornières de protection. Marc Hoffmann est particulièrement «fier de pouvoir annoncer que le groupe Cactus a pris la décision de cofinancer la construction de ce centre de recyclage des bâches plastiques, et ainsi leur permettre de donner une seconde vie». Cactus s’est associé à ce projet en le cofinançant à 50 pour cent.

Le principe du recyclage est appliqué à la lettre puisque ces granulés sont moulés et refroidis pour créer ces cornières de protection. «Pour que les cartons ne bougent pas sur les palettes et dans le conteneur, à chaque coin on met une cornière qui les fait tenir sur les palettes», explique Geneviève Krol. La masse de sacs en plastique a un potentiel de production d’environ un million de cornières, ce qui serait suffisant pour 12.480 conteneurs. Cela équivaut aux exportations estimées du secteur de la banane au Nord du Pérou.

Investissement dans des projets sociaux

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Une banane est très saine, elle contient des minéraux essentiels, des vitamines et elle est une véritable source d’énergie.

«Le projet du centre de recyclage s'inscrit dans cette dynamique Fairtrade, puisqu'il faut savoir qu’en plus du prix Fairtrade que les producteurs reçoivent, la coopérative bénéficie d’une prime de développement qui elle est utilisée dans des projets sociaux comme la construction d’écoles ou de centres de santé», indique Geneviève Krol. Les fonds peuvent aussi permettre à des jeunes enfants d'avoir une alimentation saine, «et lors de la période du Covid, la prime a été utilisée pour distribuer des kits de santé, mais aussi pour mettre à disposition des terrains pour créer des jardins – pour éviter, à côté d'une crise sanitaire, une crise de la faim», relève Geneviève Krol: «Le fait que les membres de la coopérative votent en faveur de l’investissement d'une partie de la prime dans ce centre de recyclage, montre vraiment son intérêt. C'est quelque chose de très fort dans le système du commerce équitable, puisque les décisions viennent des producteurs euxmêmes».

«A n’en pas douter, le centre de recyclage aura des avantages au niveau économique, social et environnemental», ajoute Geneviève Krol: «Au niveau économique, il va générer une économie locale grâce à la fabrication et à la vente de ces cornières, puisqu’elles vont être utilisées par les coopératives. Ensuite, cela va créer de l'emploi et des revenus supplémentaires. Les employés ne seront pas forcément des membres de la coopérative, ils pourront être recrutés dans la région. Au niveau social, ce projet va s’axer sur l’inclusion des jeunes. Et au niveau environnemental, le ramassage de ces plastiques va permettre à l'environnement de s'aérer et à la vie marine de se reposer un petit peu. C'est une petite goutte d'eau dans cet immense océan, mais ce projet pilote donnera des idées à plein d’autres coopératives pour gérer ce problème du plastique», conclut-elle.

Marc Hoffmann acquiesce: «Dès lors, la banane bio-Fairtrade que vous retrouvez dans nos étalages est non seulement un fruit sain et délicieux, biologique et équitable. Mais on va plus loin encore: en recyclant ces sacs plastiques, les producteurs du Pérou peuvent affirmer à haute voix que vous pouvez déguster leurs bananes en toute bonne conscience».Investissement dans des projets sociaux

«Le projet du centre de recyclage s'inscrit dans cette dynamique Fairtrade, puisqu'il faut savoir qu’en plus du prix Fairtrade que les producteurs reçoivent, la coopérative bénéficie d’une prime de développement qui elle est utilisée dans des projets sociaux comme la construction d’écoles ou de centres de santé», indique Geneviève Krol. Les fonds peuvent aussi permettre à des jeunes enfants d'avoir une alimentation saine, «et lors de la période du Covid, la prime a été utilisée pour distribuer des kits de santé, mais aussi pour mettre à disposition des terrains pour créer des jardins – pour éviter, à côté d'une crise sanitaire, une crise de la faim», relève Geneviève Krol: «Le fait que les membres de la coopérative votent en faveur de l’investissement d'une partie de la prime dans ce centre de recyclage, montre vraiment son intérêt. C'est quelque chose de très fort dans le système du commerce équitable, puisque les décisions viennent des producteurs euxmêmes».

«A n’en pas douter, le centre de recyclage aura des avantages au niveau économique, social et environnemental», ajoute Geneviève Krol: «Au niveau économique, il va générer une économie locale grâce à la fabrication et à la vente de ces cornières, puisqu’elles vont être utilisées par les coopératives. Ensuite, cela va créer de l'emploi et des revenus supplémentaires. Les employés ne seront pas forcément des membres de la coopérative, ils pourront être recrutés dans la région. Au niveau social, ce projet va s’axer sur l’inclusion des jeunes. Et au niveau environnemental, le ramassage de ces plastiques va permettre à l'environnement de s'aérer et à la vie marine de se reposer un petit peu. C'est une petite goutte d'eau dans cet immense océan, mais ce projet pilote donnera des idées à plein d’autres coopératives pour gérer ce problème du plastique», conclut-elle.

Marc Hoffmann acquiesce: «Dès lors, la banane bio-Fairtrade que vous retrouvez dans nos étalages est non seulement un fruit sain et délicieux, biologique et équitable. Mais on va plus loin encore: en recyclant ces sacs plastiques, les producteurs du Pérou peuvent affirmer à haute voix que vous pouvez déguster leurs bananes en toute bonne conscience».

En visite chez Cactus

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Au niveau environnemental, le ramassage de ces plastiques va permettre à l'environnement de s'aérer et à la vie marine de se reposer un petit peu. Photo: Fairtrade

Selon Francis Demesse, directeur de Cafruta, centre d’accueil et de distribution des fruits et légumes pour les supermarchés Cactus et les points de vente Cactus shoppi, environ 850 tonnes de bananes Fairtrade sont importées par an, ce qui revient à 900 à 1.000 palettes.

Les bananes mettent environ 24 jours à parvenir des plantations péruviennes chez Cactus. «Après la récolte des régimes de banane, ceux-ci sont lavés et coupés à la main selon les us et les besoins du marché», explique le spécialiste. Les fruits encore verts sont ensuite placés dans des boîtes qui pèseront à peu près 18 kilos avant d’être mises sur palette. Un container spécialement adapté accueille ces palettes qui seront ensuite empilées sur un navire à Paita. Le fret met entre 18 et 21 jours pour gagner le port d’Anvers. Mais avant d’être transportées vers Cafruta à Bertrange, les bananes passent quelques jours chez le mûrisseur proche du port, où les fruits sont mûris. Une fois arrivées dans le centre de distribution, les bananes reposent au maximum une journée avant d’être livrées vers les points de vente Cactus.

Le directeur de Cafruta précise que «la banane n’est pas vraiment dépendante des saisons, puisqu’au Pérou les conditions sont semblables pendant toute l’année, avec une très forte humidité. Cependant, certains épisodes climatiques peuvent diminuer la quantité d’une récolte»

La banane, snack idéal et fournisseur d’énergie

En nous faisant visiter le centre de distribution de Cafruta, annexé à La Belle Etoile, Francis Demesse ne cache pas sa passion pour tous ces merveilleux produits naturels que son équipe de 80 personnes dispatche jour pour jour. «Une banane est très saine, elle contient des minéraux essentiels, des vitamines et elle est une véritable source d’énergie puisque le fruit se compose en majeure partie d’amidon qui se transforme en sucre», expose-t-il: «Il n’y a rien de mieux et de plus naturel qu’une banane pour s’approvisionner en énergie, que ce soit pourle sport ou des épreuves d’examen. Et c’est le snack idéal quand on a un petit creux pendant la journée».

«La banane est un fruit fragile, j’aime la comparer à la fraise», ajoute Francis Demesse, «et donc en faisant ses courses chez Cactus, il faut veiller à ne pas écraser le fruit sous la pression d’articles trop lourds». Un dernier conseil: «Il ne faut jamais placer la banane dans le réfrigérateur, sinon elle acquiert rapidement un aspect grisâtre. Cela ne la dépare pas qualitativement, mais son aspect souffre si on l’expose à des températures en-dessous de 14 degrés». Par Claude François

Demain c’est la St Valentinn

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Faites plaisir à votre douce moitié tout en soutenant le commerce équitable grâce aux magnifiques roses et bouquets Fairtrade disponibles dans les supermarchés Cactus.