De façon plus pragmatique, l’usure naturelle des habitations nous contraignant à des travaux de rénovation, les innovations en matière de confort et surtout d’écologie, le temps qui passe et modifie la structure familiale, tout ceci fait que la physionomie de notre habitat évolue irrémédiablement de décennie en décennie. Gageons qu’à l’instar d’un bon vin ou d’un bel esprit, elle gagne en une paisible maturité esthétique…
Bonne semaine à tous.
Advertorial
Je finis, tu finis, il finit...
Chers lecteurs,Surtout nous n’en finissons pas ! De quoi donc ? Et bien de peaufiner notre intérieur. Avant ou après le confinement et ses corollaires négatifs (voyages plus rares en tête de la liste un tantinet déprimante), le sentiment de l’habitation comme lieu de tous les ressourcements et de toutes les protections, s'est renforcé. Nous avons pris un heureux – plutôt que malin – plaisir à tout mettre en œuvre pour nous sentir au mieux chez nous.L'histoire n'est pas nouvelle et nous avons tous en tête, mille et une anecdotes littéraires, historiques, anthropologiques, qui pourraient venir étayer cet état de fait.