On n’a rien sans rien
«Il faut être clair, quand nous avons acheté en 2013, c’était plus une question de budget qu’un coup de coeur absolu (sourires). Nous avons tout de suite entrepris un premier jet de travaux en posant du parquet dans certaines pièces et en nous attaquant à la salle de bain existante puis en créant une seconde salle d'eau. Puis nous avons fait la connaissance d’Amandine Maroteaux de l’Atelier Compostelle, avec laquelle la collaboration fut fructueuse. Elle nous a notamment encouragé à terminer notre seconde vague de travaux, une bonne fois pour toutes. D’août 2018 à février 2019, nous avons donc entrepris la seconde partie de notre projet de rénovation. Avant Noël, le plus gros était fait mais nous avons dû composer sans cuisine pendant un mois et demi. Nous avons installé un coin repas de fortune dans la cave et vu tous les corps de métiers défiler à la maison. Ambiance camping mais très instructif (rires).»
"Nous avons gardé et inséré dans l’architecture finale, les objets qui nous tenaient à coeur""
La tentation de recommencer
«Pour la partie décoration, nous avons gardé et inséré dans l’architecture finale, les objets qui nous tenaient à coeur. La couleur dominante, le bleu foncé de la marque Ressources, prend sur nos murs des teintes différentes en fonction du moment de la journée. Les tapis marocains sont assez en vogue et nous n’avons pas résisté à cette note ethnique chic. Nous adorons la déco! Je dois d’ailleurs vous avouer que je regarde régulièrement les annonces et que, si je m’écoutais, je me relancerais dans des travaux! Mais attendez... il est vrai que nous n’avons pas touché l’étage intermédiaire ! Qui sait? Peut-être la prochaine étape (sourires).»
Bilan assurément positif
« Après ces mois de travaux et quelques sacrifices, on peut dire que nous avons la satisfaction d’avoir fait de notre maison, un bijou et surtout un endroit qui nous ressemble. Avant nous pensions la revendre un jour mais maintenant, compte-tenu de la proximité du lycée où nos filles sont scolarisées ainsi que de nos bureaux respectifs, la question ne se pose plus du tout!»
Nous refermons à regret la porte de cette belle maison où la vie est indubitablement «lux(embourgeoise), calme et beauté». Alix Bellac