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Les terrasses gourmandes du Grand-Duché

Skybar, un goût de paradis

Le Skybar est perché au-dessus du City Concorde. Photo: C.

Pour ouvrir le bal des endroits où aller chercher le soleil tout en régalant ses papilles, le Skybar de Bertrange perché audessus du City Concorde semble tout indiqué. Focus sur un lieu incontournable pour flatter les sens.«Mes clients, je veux qu’à chaque fois qu’ils ont quelque chose en bouche, ce soit le carnaval de Rio!» Vous voici prévenus. Il y a de la fougue que l’on sent canalisée depuis peu, chez le chef du SkyBar, Renaud Nols. Le résultat est là: maîtrise des saveurs, des couleurs, choix judicieux d’assiettes adaptées à chaque plat, service impeccable. A peine attend t-on un peu entre l’entrée et le plat de résistance mais comme le relève notre compagnon de table, cela signifie que les plats ne sont pas décongelés/réchauffés. Ce genre de preuve n’a pas besoin d’être apportée, la fraicheur des ingrédients est évidente même pour le palais le moins averti. Ici, tout réconcilie avec l’ordre et la rigueur. La terrasse impeccablement entretenue et il est vrai, le soleil qui ce jour-là était de la partie, la serveuse qui prend la commande de tête et conseille plus de deux variétés de blanc pour l’entrée de monsieur, non vraiment il n’y a rien à redire. Fortement recommandé pour un déjeunerfamilial mais aussi pour un repas d’affaires ou d’affaires… amoureuse.

Le chef Renaud Nols enchaine: «La carte change toutes les quatre à six semaines. Je ne suis pas forcément les saisons mais je choisis les ingrédients en fonction du moment opportun tout en privilégiant le local dans la mesure du possible. J’essaie de ne pas avoir plus de trois traceurs (entendez ingrédients prépondérants) dans l’assiette. On doit pouvoir identifier facilement ce que l’on déguste. Néanmoins, ajoute-t-il dans un sourire, ces règles de base ne sont pas figées et je revendique de sortir parfois des sentiers battus.»

Du côté de la direction, on est également en droit de se féliciter. Les yeux de Christopher Rahme brillent à dérouler le processus créatif autour du lieu: «Quand j’ai vu le local, il était vide, sans toit, il fallait faire un effort d’imagination pour se projeter. Je me suis alors dit que soit le sol soit le plafond devait être exceptionnel. Ce fut le plafond,» sourit le jeune homme. L’artiste Samuel Levy a été prié d’y exercer son art. «Pour la déco, tout est parti des miroirs accrochés aux murs et chinés aux puces. Les lattes, en bois brûlé, vont du sol au plafond. Tout a été repensé, de la hauteur des banquettes à celles des tables qui font cinq centimètres de moins que la norme. Aux chaises, nous avons rogné un centimètre et demi sur les pieds arrière, toujours dans une perspective de détente.»

Notre regard s’arrête sur la platine de DJ. Christopher Rahme s’en amuse: «Après la période de restriction sanitaire, il se passera sans doute quelque chose niveau décibels. Notre but est de satisfaire toutes nos clientèles (midi, soir, nuit) en allant toujours plus loin dans notre concept.» Vivement! ab