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L'énergie change. Et vous ?

Energies renouvelables

Photos: Shutterstock

Avec une conscience écologique grandissante, on parle de plus en plus des énergies renouvelables. Mais qu’est-ce que c’est ? Quelles en sont les sources et les limites ? Les avantages et les inconvénients ? On vous explique tout !

Tout le monde espère une planète en meilleure santé mais les experts tirent la sonnette d’alarme. Prendre soin de la Terre, c’est prendre soin de nous.

Bon à savoir

Les énergies renouvelables, c’est l’ensemble des moyens de production d’énergie à partir de ressources voulues illimitées ou en tout cas reconstituables plus rapidement qu’elles ne sont consommées.

Elles s’opposent aux énergies dites fossiles comme le charbon, le pétrole ou le gaz dont on exploite des gisements.

Par abus de langage on parle parfois d’énergies « vertes » ou d’énergies « propres » car elles peuvent tout de même avoir des conséquences environnementales importantes tout en s’inscrivant toujours dans une démarche écologique.

"A chacun de repenser sa consommation pour une sobriété énergétique qui évite le gaspillage"

Un éventail de ressources

Il existe différents types d’énergies renouvelables :
- L’énergie solaire : par captation du rayonnement du soleil que ce soit par des panneaux photovoltaïques ou des citernes thermiques.
- L’énergie éolienne : exploitant l’énergie cinétique du vent.
- L’énergie hydraulique : utilisant l’énergie cinétique de l’eau à hauteur de barrages ou de turbines construites sur les courants marins.
- La biomasse : par combustion de matériaux dont l’origine est biologique comme le bois par exemple.
- La géothermie : par la chaleur émise par la Terre et stockée en sous-sol. Cependant, cette liste reste très théorique : les experts défendent certaines ressources plus que d’autres.

Energétiquement vôtre...

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Les avantages de ces énergies qui nous veulent du bien sont nombreux. C’est un peu logique mais il est important de le rappeler : elles sont renouvelables et donc ne connaitront jamais de pénurie. Elles engendrent peu d’émission de dioxyde de carbone ou de particules fines.

Elles incarnent donc une solution au réchauffement climatique dans le respect de l’équilibre vital de notre planète. Permettant des productions décarbonées et décentralisées, elles sont facteurs de résilience.

Le plus important, c’est qu’on améliore la sécurité énergétique : on ne dépend plus des énergies fossiles ni des pays détenant les gisements.

Par conséquent, les perturbations d’approvisionnement ou les fluctuations de prix n’existent plus face à des solutions de productions locales.

Des progrès à faire

Les détracteurs des énergies renouvelables n’ont en fait que peu d’arguments. Leur faible rendement par rapport aux énergies fossiles est un faux problème : à chacun de repenser sa consommation pour une sobriété énergétique raisonnée qui évite le gaspillage.

Ainsi on peut pallier leur disponibilité aléatoire : Le phénomène d’intermittence est lié à la nature imprévisible de la production qui peut dépendre des conditions météorologiques. Le défi réside simplement dans le stockage afin d’éviter les risques de coupures.

Ne tient qu’à nous de développer ces ressources. Plus elles se répandront, moins les coûts de production, liés à la construction d’infrastructures, resteront élevés. On leur reproche parfois une pollution visuelle ou sonore mais des constructions offshores peuvent aussi être une alternative.

Tout cela pour quoi ?

Non seulement les énergies sont renouvelables, on respecte la planète et on valorise une politique écologique au long terme mais l’impact semble majeur sur le marché de l’emploi.

La recherche et les innovations ouvrent la voie à des ingénieurs, des installateurs, des techniciens, des analystes, des responsables développement…

Les opportunités sont variées et accessibles à tous. Si le challenge vous séduit, le secteur est prometteur ! Surtout qu’à l’heure actuelle les énergies renouvelables correspondent rarement à plus de quinze à vingt pourcents de l’énergie produite alors que la volonté globale est d’augmenter jusqu’à quarante pourcents d’ici 2030.

Alors plus d‘hésitation : on consomme en toute bonne conscience avec les cheveux au vent et le nez pointé vers le soleil !  Jean Evrard-Fissot