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La banalité d’un bien

Chers lecteurs,Un coin à soi, un endroit où se poser en toute quiétude et où pouvoir se retrouver dans le secret de son cœur et de son intimité. Mais en envisageant d’habiter avec d’autres, pourquoi pas ?Si nous consacrons cette semaine un dossier à ce sujet, c’est qu’il devient brûlant. L’habitat pour tous manque, on marche sur des œufs et… ça s’entend. Passant les métaphores culinaires, lisez ceci :

La banalité d’un bien-2
Alix Bellac

« Je connais des personnes prêtes à s’entasser à quatre dans un petit appartement pour rester proches de leur lieu de travail », nous confiait une spécialiste du secteur de la colocation interrogée pour les besoins de ce dossier. De quoi avoir eu envie d’investiguer sur ces nouvelles tendances que sont les colocations, chambres chez l’habitant et autres habitats participatifs.

Gageons que dans les mois et les années à venir, à l’aune de réglementations parfois étonnantes ou de vides juridiques, nos politiques devront continuer à plancher surleurs copies et surle sujet, à savoir celui d’un toit pour chacun dans les conditions les plus acceptables, tant en termes de confort que d’épanouissement. Vaste programme...

A soleil, sous la pluie ou à l’abri,

Bonne semaine à tous.