Advertorial

Mani d'Oro, le bien-nommé

Les terrasses gourmandes du Grand-Duché

De jour comme le soir, une terrasse à retenir au 243, route d'Esch.

Le soleil est revenu, précipitons-nous au dehors ! Si, à l'heure du déjeuner, les idées vous manquent, un certain italien pourrait bien conquérir votre estomac...Certes, nous ne sommes pas là dans un cadre verdoyant (car qui dit terrasse impose bien souvent une vision idyllique à base de vert que celui-ci soit céladon, émeraude ou bouteille...). Qu’à cela ne tienne, la terrasse du Mani d’Oro compte pour la qualité et la fraîcheur de ses plats. De plus, le restaurant est agréable et cosy dans un quartier qui, ne nous voilons pas la face, manque de cela.

Emanuele Criscione, regard vert derrière masque noir, sourit de tous ses yeux et nous gratifie de croustillantes mini pizzas, le temps de patienter entre la commande et la réception des plats du jour ou des best-sellers à la carte.

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Prendre l'air à la mode italienne.

Evidemment, les jours de beau, vous aurez pris la précaution de réserver votre table en terrasse, séparée de la route par plantes et arbustes. Entre pizzas, salades et plats de pâtes, chaque client et le degré de gourmandise inscrit dans son adn, trouvera de quoi combler plus qu’un creux. En effet, les parts sont fort généreuses et il se pourrait bien que vous repartiez avec un doggy bag. Si tel n’est pas le cas, tout est prévu pour, au comptoir, craquer sur ce qui constituera votre dîner du soir (parts de foccacias, pizzas etc).

Mais revenons à notre assiette. La recette des bons plats du Mani d’Oro, c’est beaucoup de conscience professionnelle et un soupçon d’Angela. La nonna, près de 60 ans d’expérience en pastas et autres succulences, officie discrètement en cuisine (visible de la salle). Les pizzas sont évidemment réalisées sous nos yeux et les aficionados pourraient vous réciter la carte ou gloser à l’infini sur la pizza Del Montanaro (burrata, pancetta, sauce à la truffe et pistaches) et celle au Nutella et… à la ricotta. On n’a pas encore osé tenter. Histoire d’avoir une excuse pour revenir. Alix Bellac