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Une ONG grand-ducale qui investit dans l'agriculture

On ne change pas une idée qui gagne

Après la réussite d'un premier lancement de fonds européens dédiés à un financement solidaire pour l'Afrique durant l'été 2021, l'année 2022 a vu le programme ambitieux, mais ô combien altruiste, FEFISOL être reconduit. Avec cette fois, l'ONG SOS Faim Luxembourg parmi les investisseurs.

Tout sauf une mince affaire

L'idée de départ est aussi simple qu'elle est louable, à savoir: permettre d'offrir des réponses adaptées au défi majeur que représente l'encadrement des populations fragiles en milieu rural en Afrique, et notamment à la question du financement du secteur agricole, incontournable et primordiale à la fois. En effet, avec moins d'un dixième des travailleurs de la terre qui peuvent prétendre à l'octroi d'un crédit, et ce, dans un secteur d'activité - encore très familial au demeurant (avec une centaine de millions de petites exploitations dans un peu moins d'une cinquantaine de pays subsahariens) - qui équivaut à pratiquement un quart du PIB et à plus de la moitié de la main d'oeuvre à l'échelle continentale, la tâche reste énorme.

Parmi d'illustres acteurs tels que la Banque européenne d'investissement et la Banque alternative, entre autres, SOS Faim Luxembourg a donc pu également se joindre à l'aventure l'année dernière, et ce, aux côtés des investisseurs initiaux que sont "Solidarité Internationale pour le Développement et l'Investissement", et Alterfin, une coopérative belge spécialisée dans le financement afin de développer les entreprises sociales à travers le monde pour des revenus durables aux plus vulnérables.

Sonnette d'alarme constante

Un pareil engagement, de la part de partenaires aussi renommés qu'inquiets face à la situation d'urgence qui sévit maintenant depuis des décennies sur un continent leader en termes de croissance démographique, est naturellement voué à assurer un minimum de garanties.

En particulier au niveau des ressources alimentaires, des offres d'emploi, de l'abnégation et de l'inventivité nécessaires dans une lutte quotidienne contre un dérèglement climatique inexorable. Ceci, sans oublier la réhabilitation croissante - et de rigueur - de la place des femmes dans les programmes d'aide au financement, ces dernières étant fréquemment pénalisées dans ce domaine, malgré leur surreprésentation au travail. D-C.