Advertorial
Aujourd’hui, nous sommes sur la bonne voie de voir s’installer encore plus de grandes enseignes internationales au Royal Hamilius. Un premier pas a été franchi avec les Galeries Lafayette, mais aussi avec la FNAC, Decathlon, la Poste, Delhaize, Tango, Atelier Steffen ainsi que Prêt-à-Manger qui sera la première ouverture au Luxembourg. Une partie de ces enseignes avaient besoin d’un temps pour comprendre et s’adapter à la clientèle luxembourgeoise qui possède ses propres règles.
- Le Royal Hamilius est entretemps devenu une véritable «locomotive» pour le commerce de la ville. Il est situé à l’entrée du quartier commercial. N’est-ce pas un véritable atout pour vous?
Oui, nous en sommes très fiers d’être comme un grand portail à l’entrée de la ville. D’abord, il y a l’arrêt du tram qui draine tous les jours plus de 15.000 personnes. Il y a aussi le parking souterrain 450 places et bien sûr tous les autres moyens de transport dont l’accès à la ville a été grandement facilité. Le Royal Hamilius est devenu un endroit où les gens se rencontrent, flânent, passent du temps et font leurs achats... sans pour autant renoncer à découvrir le centre-ville dans son ensemble.
- La rue Aldringen, cependant, semble ne pas avoir trouvé, à la date d’aujourd’hui, sa place dans ce grand ensemble. Pourquoi tant de surfaces sont-elles encore inoccupées?
Notre projet pour la rue Aldringen a pris du retard. En fait, nous voulons faire de cette rue, qui n’a jamais été une rue piétonne et commerçante, une fashion street, c’est-à-dire doté de magasins mode et accessoires de premier choix, une offre complémentaire, axée plus jeune et plus décontractée «urbanchic».