Chers lecteurs,Vous souvenez-vous de ces films de Noël truffés de plaids et autres couvertures, de vins chauds et de chocolats mousseux, de fenêtres et de portes que l’on referme hâtivement pour ne pas laisser rentrer le froid ou la neige, toutes ces images qui voyagent dans notre imaginaire collectif mais qui parlent d’un confort essentiel, la chaleur?Sans passer pour les chantres de la moralisation écologique, à l’heure où la hausse du prix de l’énergie semble inéluctable, on peut souligner qu’il est de notre devoir de tenter de minimiser les dégâts.